0000000000328264
AUTHOR
Samir Bajrić
2015 : « Le vouloir-dire et le silence des langues », dans Acta linguistica, Journal for Theoretical Linguistics, Banská Bystrica, Ekonomická fakulta, Slovaquie, numéro 10, p. 6-16
This paper deals with so-called “mind-saying” and “silence of languages”. These concepts mainly belong to cognitive linguistics and specifically to “linguistic neoteny” (theory of uncompleted speaker). Every human being develops a different cognitive relation with the languages he speaks. Nevertheless, those languages obligate him to accept cognitive restrictions to deal with quantity, quality and frequency of the formulations. The restrictions force the speaker to choose between the linguistic production (le dire) and the lack of linguistic production (le non-dire). In the first case, the enunciation is built with the units needed for the expression and the expressiveness of the language. …
Temps, espace et signification : psychomécanique du langage et syntaxe structurale
International audience; Fondé sur les principes théoriques de la psychomécanique du langage et de la syntaxe structurale, ce travail tente de redéfinir le nom-espace et le verbe-temps au service de la signification. Il s’appuie sur l’idée que cette dernière est adossée (essentiellement) aux mots prédicatifs (psychomécanique du langage) ou aux mots pleins (syntaxe structurale). Mais cette hypothèse ne vaut qu’à condition d’accepter préalablement le postulat selon lequel les langues (à morphologie identifiable) associent intrinsèquement le verbe au temps et le nom à l’espace. Dans ce corrélat noologique, le verbe-temps et le nom-espace forment, paradoxalement, une position et une opposition. …
Une période dans l’histoire des parties du discours : de la Grammaire comparée au Cours de linguistique générale
International audience
La conjonction et les autres mots vides: syntaxe structurale et psychomécanique du langage
International audience; Le présent article offre non seulement un élargissement des notions de mots vides, et plus particulièrement celle de conjonction, mais également une conception plus complexe des parties du discours auxquelles la syntaxe structurale de L. Tesnière réserve l’appellation d’outils grammaticaux. D’une part, les analyses proposées introduisent la distinction entrejonctifs intraphrastiques, pour les éléments qui coordonnent les unités linguistiques moins complexes que la phrase, et jonctifs interphrastiques, pour les éléments qui servent d’introducteurs de l’énoncé et unissent les phrases entières. D’autre part, les opérations de jonction et de translation convergent vers u…