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The Romantics of 1909: Arthur Symons, Pierre Lasserre and T. E. Hulme
Bénédicte Costesubject
critique littéraire[SHS.LITT]Humanities and Social Sciences/Literaturemedia_common.quotation_subjectfin de siècleArt historyclassicismPierre Lasserre[SHS.LITT] Humanities and Social Sciences/LiteraturePortraitCosmopolitanismlcsh:Social sciences (General)Romanticismclassicismemedia_commonLiteraturelcsh:English languageromantismebusiness.industryT. E. Hulmeliterary criticismliteratureFrenchArtArthur Symons[ SHS.LITT ] Humanities and Social Sciences/LiteratureRomancelanguage.human_languageNationalismEnglish poetrylanguageromanticismlcsh:H1-99lcsh:PE1-3729businessClassicismdescription
Arthur Symons’s The Romantic Movement in English Poetry (1909) has elicited scant discussion. Part dictionary of British authors born before 1800, part series of portraits of canonical Romantic poets, The Romantic Movement remains perplexing with its unclear purpose and ungainly format. This article argues that Symons’s monograph should be approached in the turn of the century debate on the definition and value of British Romanticism. As opposed to T. E. Hulme’s ‘Romanticism and Classicism’ (1912?), itself indebted to Pierre Lasserre’s Le Romantisme français. Essai sur la révolution dans les sentiments et dans les idées au XIXe siècle (1907), Symons’s study appears as a defence of the romantic aesthetics and fin the siècle cosmopolitanism against Lasserre’s and Hulme’s emphases on nationalism and Classicism. Cet article est consacré à l’ouvrage d’Arthur Symons The Romantic Movement in English Poetry (1909) qui n’a guère retenu l’attention de la critique. En partie dictionnaire des auteurs britanniques nés avant 1800, en partie série de portraits littéraires d’auteurs canoniques romantiques, The Romantic Movement plonge son lecteur dans la perplexité quant à son propos. Pourtant, en le resituant au cœur du débat sur la définition et la valeur du Romantisme anglais, il prend un tout autre relief. Mis en regard de l’essai « Romanticism and Classicism » de T. E. Hulme (1912 ?) lui-même nourri de la monographie de Pierre Lasserre, Le Romantisme français. Essai sur la révolution dans les sentiments et dans les idées au XIXe siècle (1907), Symons défend l’esthétique romantique du génie, et plus discrètement le cosmopolitisme de la fin de siècle devant les attaques d’un certain nationalisme littéraire trouvant son expression dans le classicisme, tel que le défendent Hulme et Lasserre.
year | journal | country | edition | language |
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2016-12-22 |