6533b836fe1ef96bd12a0fe5

RESEARCH PRODUCT

Précipitations à Madagascar, Mayotte, la Réunion et les Îles Éparses durant la saison des pluies (1971-1999) : rôle et contribution des talwegs tropicaux tempérés.

Thomas GarotClémence MacronYves Richard

subject

[PHYS.PHYS.PHYS-AO-PH]Physics [physics]/Physics [physics]/Atmospheric and Oceanic Physics [physics.ao-ph][SDU.STU.CL] Sciences of the Universe [physics]/Earth Sciences/Climatologyprécipitations journalièrestalwegs tropicaux-tempérés[ PHYS.PHYS.PHYS-AO-PH ] Physics [physics]/Physics [physics]/Atmospheric and Oceanic Physics [physics.ao-ph][SDU.STU.CL]Sciences of the Universe [physics]/Earth Sciences/ClimatologyMadagascarclassification hiérarchique ascendante[ SDU.STU.CL ] Sciences of the Universe [physics]/Earth Sciences/Climatologysud-ouest de l’océan Indien[PHYS.PHYS.PHYS-AO-PH] Physics [physics]/Physics [physics]/Atmospheric and Oceanic Physics [physics.ao-ph]

description

7 pages; International audience; Cette étude, sur la base d’un jeu de données pluviométriques original, recherche les mécanismes à l’origine de lavariabilité spatiotemporelle des précipitations journalières observées sur Madagascar, Mayotte, La Réunion et les îlesÉparses. L’étude se concentre sur le début et le coeur de l’été austral de 1971 à 1999. Un focus sur la contribution desTalwegs Tropicaux-Tempérés (TTT) est réalisé. Dans une première partie, une classification sur les séries de précipitationsde vingt-neuf stations a mis en évidence six types de jours et de mécanismes associés. La classe sèche est associée à desanomalies cycloniques, deux des cinq classes dont associées à des TTT, les trois autres à des anomalies cycloniques ou à laZCIT. Dans la deuxième partie, une classification préexistante du champ régional d’ondes infrarouges sortantes (OLR) a étéutilisée pour évaluer la contribution des TTT aux précipitations. Ainsi, Les TTT positionnés sur le canal du Mozambique,sont apparus favorables aux précipitations sur l'extrême sud-ouest de Madagascar et favorisent les conditions sèches sur lereste de l’île. Les TTT positionnés sur l'océan Indien, à l’est de Madagascar, semblent globalement favorables auxprécipitations sur une grande partie de Madagascar et l’île de La Réunion, leur contribution spatiotemporelle est apparuecependant très variable. La confrontation des deux méthodes utilisées (CHA et k-means) a permis à la fois de décrire lapluviométrie de la saison d'été et de mettre en évidence le rôle et la contribution des TTT sur Madagascar et les îlesenvironnantes.

https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01117021