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RESEARCH PRODUCT

Les Gregoryceras (Ammonitina) de l'Oxfordien moyen terminal et supérieur téthysien : révision systématique, biostratigraphie et évolution.

Raymond EnayDidier BertFrançois Atrops

subject

010506 paleontologybiologyAmmonitinaPaleontologyÉvolutionEcological succession[ SDU.STU.ST ] Sciences of the Universe [physics]/Earth Sciences/Stratigraphy010502 geochemistry & geophysicsbiology.organism_classification01 natural sciencesSpecies successionPaleontologyGeographyCorrélations biostratigraphiquesSpace and Planetary ScienceGregoryceras (Ammonitina)Taxinomie[SDU.STU.ST]Sciences of the Universe [physics]/Earth Sciences/StratigraphyDimorphismeOxfordien[SDU.STU.PG]Sciences of the Universe [physics]/Earth Sciences/Paleontology[ SDU.STU.PG ] Sciences of the Universe [physics]/Earth Sciences/Paleontology0105 earth and related environmental sciences

description

43 pages; Les Gregoryceras Spath, 1924 (Ammonitina, Peltoceratina) de la fin de l'Oxfordien moyen (sous-zone à Rotoides) et de la base de l'Oxfordien supérieur (zone à Bifurcatus) sont révisés. Les coupes ayant fourni la plupart des spécimens de ce travail (Espagne et Maghreb) sont décrites et datées sur la base de comparaisons fauniques entre les domaines téthysien et subtéthysien. Le meilleur outil pour ces corrélations est la présence du genre Gregoryceras. La succession des espèces de Gregoryceras est identique pour les deux domaines suscités, ce qui permet de compléter l'échelle biostratigraphique proposée antérieurement et parallèle à la zonation standard. Les espèces reconnues et redéfinies pour la période considérée sont G. fouquei (Kilian, 1889) et G. pervinquieri (Spath, 1913). G. fouquei n'est présent que dans la sous-zone à Rotoides et non dans la sous-zone à Stenocycloides, qui est le domaine d'occurrence de Gregoryceras pervinquieri. Une nouvelle espèce, G. benosmanae nov. sp. est décrite ; elle constitue actuellement l'espèce la plus récente du genre (sous-zone à Grossouvrei). L'évolution des espèces les plus récentes de Gregoryceras poursuit la péramorphocline décrite pour les formes plus anciennes. Concernant le dimorphisme potentiel, de nouvelles données (différences de taille, ouverture de l'ombilic au cours de la croissance) sont apportées, en particulier dans le cas de G. pervinquieri.

10.1016/j.geobios.2009.01.001https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-00410233